-
Le titre joué de justesse: 1984, Lauda pour un demi-point
Si cette année 2019 est bien partie pour être un récital d’Hamilton, au vu de ses cinq victoires en sept Grand Prix, tous les championnats n’ont pas eu d’issue aussi prévisible en 70 saisons. Retour ce mois-ci sur ces saisons où le titre s’est joué dans la dernière course, voire parfois même dans les derniers virages.
-
W Series à Misano : Chadwick de nouveau !
La troisième manche du championnat W Series a pour théâtre le circuit du Misano, habitué à recevoir le Grand Prix moto de Saint-Marin. Renommé World Circuit Marco Simoncelli après la mort de ce jeune pilote MotoGP en 2011 à Sepang, il offre habituellement de belles courses, et la W Series n’a pas dérogé à la règle.
-
Renault : enfin le réveil du losange ?
Revenue en F1 en 2016 après six ans d’absence, la marque au losange a réussi en trois ans à devenir la quatrième force du plateau, et à assumer ses ambitions en recrutant Daniel Ricciardo. Or, avant ce Grand Prix du Canada, tout n’était pas forcément rose chez les Jaunes…
-
La pénalité de Vettel provoque des réactions mitigées
Une seule chose est sur toutes les lèvres depuis ce Grand Prix du Canada : la pénalité reçue par Vettel. Certains sont pour, d’autres contre, les réactions dans le milieu de la F1 sont diverses et variées.
-
DébrieF1 : Canada, un week-end rouge
Le DébrieF1 revient de manière piquante et humoristique sur les week-ends de course F1 : analyses, focus, stats… Revivez les temps forts de chaque Grand Prix. Rouge, le week-end canadien l’a été, autant par la présente forte des Ferrari, que par la colère des supporters de Vettel suite à une décision controversée des commissaires de piste.
-
Le Mur des Champions : késako ?
Ce week-end étant le théâtre du Grand Prix du Canada, retour sur un mur qui a fait sa légende, dont certains ignorent l’histoire. Nous sommes au Grand Prix du Canada 1999, sixième manche de la saison. Au niveau du championnat, Schumacher est leader avec 30 points, devant Häkkinen qui en compte 24 et Irvine qui possède 21 unités. Sur ce circuit atypique, c’est le Baron Rouge qui se fait maître des qualifications en signant sa première pole de la saison, la 125ème pour Ferrari. Il devance ainsi Häkkinen, Irvine et Coulthard, et se place en favori pour la course, qui part sous un grand soleil. La course s’anime dès le…
-
Le titre joué de justesse: 1964, maudit Climax !
Si cette année 2019 est bien partie pour être un récital d’Hamilton au vu de ses quatre victoires en six Grand Prix, tous les championnats n’ont pas eu d’issue aussi prévisible en 70 saisons. Retour ce mois-ci sur ces saisons où le titre s’est joué dans la dernière course, voire parfois même dans les derniers virages. Cette saison 1964 voit comme favoris le champion du monde en titre Jim Clark au volant de sa Lotus Climax ainsi que son compatriote Graham Hill sur sa BRM, champion du monde 1962. Cependant, il faut aussi compter sur les Ferrari du champion du monde moto John Surtees et du play-boy italien Lorenzo Bandini,…