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35 ans plus tard: Zandvoort est de retour
Dès 2020, Max Verstappen pourra enfin dire qu’il roule chez soi, face à son public, qui se déplace déjà en masse sur d’autres Grands Prix. Zandvoort est de retour sur le calendrier F1, et ce, pour trois ans. La rumeur courait dans les allées du Paddock depuis un moment déjà. Désormais, c’est officiel, les Pays-Bas vont de nouveau accueillir la F1. Le pays était pourtant présent dès les débuts de la discipline. Inauguré en 1948, il a accueilli les monoplaces à partir de 1952. Et il en a connu de beaux moments. Un certain Jacky Ickx y signe un hat trick en 1971, James Hunt y décroche sa première victoire…
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Le DébrieF1 : le marchand de sable a distribué un cinquième doublé chez Mercedes
Le DébrieF1 revient de manière piquante et humoristique sur les week-ends de course F1 : analyses, focus, stats… Revivez les temps forts de chaque Grand Prix. Holà Barcelona ! Qui n’a pas eu les paupières lourdes? Arrêtons le suspense, ce Grand Prix d’Espagne ce n’était pas la folie, il n’a pas fait vibrer les cœurs. Bref, il n’a pas fait d’étincelles. Qui plus est, cette étape du calendrier a peut-être signé sa dernière danse puisque Zandvoort s’inscrit sur le calendrier F1 dès l’année prochaine et les rumeurs sur le remplacement du Barcelona-Cataluña vont de bon train. Et pour une (potentielle) dernière, ce n’était pas glorieux ! Le week-end débute avec des voitures abimées :…
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Les pilotes F1 qui ont brillé ailleurs : Gabriele Tarquini, les voitures de tourisme comme bouée de sauvetage
Le monde de la Formule 1 n’est pas spécialement réputé pour être tendre envers les pilotes, en particulier s’ils courent en fond de grille. C’est ainsi qu’au fil des années, nombre d’entre eux n’ont pu exprimer leur réel talent au volant d’une F1, faute d’un matériel performant. Mais le monde du sport automobile ne se limite pas à la F1 et bon nombre de pilotes ont pris une éclatante revanche pour devenir des grands de ce monde très sélectif. Né à Giulianova, dans les Abruzzes en 1962, Gabriele Tarquini a commencé sa carrière comme la très grande majorité des pilotes par le karting. Il se fait remarquer en 1984 à…
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Les pilotes F1 qui ont brillé ailleurs : Yannick Dalmas, la résurrection en endurance
Le monde de la Formule 1 n’est pas spécialement réputé pour être tendre envers les pilotes, en particulier s’ils courent en fond de grille. C’est ainsi qu’au fil des années, nombre d’entre eux n’ont pu exprimer leur réel talent au volant d’une F1, faute d’un matériel performant. Mais le monde du sport automobile ne se limite pas à la F1 et bon nombre de pilotes ont pris une éclatante revanche pour devenir des grands de ce monde très sélectif. Quand le nom de Yannick Dalmas est évoqué, on pense tout d’abord à ses quatre victoires aux 24 Heures du Mans (record pour un français co-détenu avec Henri Pescarolo) mais il…
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Imola 1994 : un drame en cinq actes, 25 ans plus tôt
Afin de contrer la domination écrasante des Williams durant les deux dernières saisons, la FIA décide de bannir les aides au pilotage, permettant de réduire les coûts par la même occasion. Cependant, les performances des voitures ne sont pas affectées et ces bolides se révèlent extrêmement difficiles à piloter. J.J.Lehto, qui pilote alors pour Benetton, se blesse ainsi lors d’essais privés à Silverstone en janvier, et Jean Alesi se blesse fin mars lors d’une séance d’essais privés au Mugello. Puis vient Imola… Le circuit d’Imola est visité par la Formule 1 depuis 1980 dans le cadre du championnat du monde. Théâtre du Grand Prix d’Italie en lieu et place de…
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DébrieF1 : Bakou, tout ça pour ça ?
Le DébrieF1 revient sur le week-end des courses F1 de manière piquante et avec humour : analyses, focus, stats… Revivez les temps forts de chaque Grand Prix. Quatrième meeting de la saison, la F1 avait posé ses bagages à Bakou. Ouverture du rideau sur le week-end et du rouge au menu Du rouge d’abord, dans les drapeaux. Cinq ! Oui, cinq drapeaux rouges, avant même d’avoir la course. La première séance d’essais libres voit une bagarre particulière éclater : une plaque d’égout contre la monoplace de Russel. Score final : 1-0 pour la plaque. 2-0 même, puisque la séance est arrêtée pour vérifier toutes les autres plaques du circuit. C’est parti pour pas…
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Les cigarettiers en F1: Marlboro, les cow-boys du paddock
A la fin des années 60, sous la pression des teams qui ont de plus en plus de mal à boucler leur budget, la CSI décide d’autoriser le sponsoring extra-sportif en 1968. C’est ainsi que pétroliers, marques d’alcool et surtout cigarettiers vont investir en masse dans le sport, voyant une opportunité en or de se faire de la publicité tout en assurant la pérennité du sport. Bien que tout le monde ait abandonné la publicité pour le tabac en 2006 à la suite d’interdictions en masse, Philip Morris et British American Tobacco tentent de revenir par la petite porte cette année au travers de publicités pour des produits moins controversés.…