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Les sponsors originaux ou douteux : Penthouse, le charme s’invite en Formule 1
L’année 1968 fut un grand tournant économique pour la Formule 1 avec l’avènement du sponsoring sur les voitures. Au fil des ans, de nombreuses marques de tous univers ont ainsi dépensé jusqu’à des millions d’euros pour apparaître sur l’une des monoplaces présentes sur la grille. Si les cigarettiers furent jusque dans les années 2000 les principaux sponsors dans la discipline, il y eut d’autres sources de financement plus originales, ou plus douteuses. Nous allons ainsi en voir quelques-unes, en commençant par le magazine de charme Penthouse.
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Les quatre couronnes de Vettel : Inde 2013, l’égal de Prost et vers de nouveaux records
C’est LA nouvelle de ces dernières semaines dans le monde de la Formule 1 : Sebastian Vettel ne renouvellera pas son contrat chez Ferrari pour 2021. Si cette décision a ainsi lancé la silly season avant même qu’elle débute réellement, on risque fort de ne plus voir le quadruple champion du monde allemand sur la grille après 2020. Il n’envisage actuellement que deux options : rejoindre Mercedes ou partir à la retraite. Comme nous avions réalisé une série sur ses erreurs lors de la saison 2018, nous allons cette fois revenir sur ses quatre titres mondiaux, avec cette fois à l’honneur la saison 2012.
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Les quatre couronnes de Vettel : Brésil 2012, une remontada pour une troisième couronne
C’est LA nouvelle de ces dernières semaines dans le monde de la Formule 1 : Sebastian Vettel ne renouvellera pas son contrat chez Ferrari pour 2021. Si cette décision a ainsi lancé la silly season avant même qu’elle débute réellement, on risque fort de ne plus voir le quadruple champion du monde allemand sur la grille après 2020. Il n’envisage actuellement que deux options : rejoindre Mercedes ou partir à la retraite. Comme nous avions réalisé une série sur ses erreurs lors de la saison 2018, nous allons cette fois revenir sur ses quatre titres mondiaux, avec cette fois à l’honneur la saison 2012.
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Les quatre couronnes de Vettel : Japon 2011, un titre à la Schumacher
C’est LA nouvelle de ces dernières semaines dans le monde de la Formule 1 : Sebastian Vettel ne renouvellera pas son contrat chez Ferrari pour 2021. Si cette décision a ainsi lancé la silly season avant même qu’elle débute réellement, on risque fort de ne plus voir le quadruple champion du monde allemand sur la grille après 2020. Il n’envisage actuellement que deux options : rejoindre Mercedes ou partir à la retraite. Comme nous avions réalisé une série sur ses erreurs lors de la saison 2018, nous allons cette fois revenir sur ses quatre titres mondiaux, avec aujourd’hui la saison 2011.
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Les quatre couronnes de Vettel : Abu Dhabi 2010, et Petrov bloqua Alonso…
C’est LA nouvelle de ces dernières semaines dans le monde de la Formule 1 : Sebastian Vettel ne renouvellera pas son contrat chez Ferrari pour 2021. Si cette décision a ainsi lancé la silly season avant même qu’elle débute réellement, on risque fort de ne plus voir le quadruple champion du monde allemand sur la grille après 2020. Il n’envisage actuellement que deux options : rejoindre Mercedes ou partir à la retraite. Comme nous avions réalisé une série sur ses erreurs lors de la saison 2018, nous allons cette fois revenir sur ses quatre titres mondiaux, en commençant par la saison 2010.
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Les plus belles courses de Moss : Monaco 1961, Moss seul contre Ferrari
Le 12 avril dernier, le monde de la Formule 1 pleurait la mort de Stirling Moss, parti à 90 des suites d’une longue maladie. Celui qu’on surnomme « le champion sans couronne » reste l’un des meilleurs pilotes de son époque voire même de tous les temps. Il ne manque qu’un titre mondial à un palmarès que nombre de pilotes lui envieraient. Nous allons ainsi revenir sur certaines courses marquantes de sa carrière, en terminant sur l’un des combats les plus épiques de sa carrière.
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Les plus belles courses de Moss : Portugal 1958, un fair-play d’une autre époque
Le 12 avril dernier, le monde de la Formule 1 pleurait la mort de Stirling Moss, parti à 90 des suites d’une longue maladie. Celui qu’on surnomme « le champion sans couronne » reste l’un des meilleurs pilotes de son époque voire même de tous les temps. Il ne manque qu’un titre mondial à un palmarès que nombre de pilotes lui envieraient. Nous allons ainsi revenir sur certaines courses marquantes de sa carrière, avec cette fois une démonstration de sportivité sans commune mesure en Formule 1.