-
Scuderia Ferrari : Rouge de honte
Spa-Francorchamps a accueilli ce week-end le septième des 17 Grands Prix de la saison. Si le podium n’a rien eu de surprenant avec un doublé Mercedes devant Verstappen, il y a une équipe qui a coulé tout au long du week-end. Alors qu’elle avait dominé les débats l’an dernier, la Scuderia Ferrari s’est ridiculisée tout au long du week-end. Retour sur une bérézina qui n’en finit plus…
-
Les pires Ferrari de l’histoire : Ferrari F2005, la mal-aimée
Seule écurie présente en Formule 1 depuis 1950, la Scuderia Ferrari possède un palmarès inégalé dans la discipline. 16 titres constructeurs, 238 victoires, 9 pilotes champions du monde sur les monoplaces rouges, et des voitures iconiques comme la F2004 ou la 500 F2. Mais au milieu de tous ces titres et honneurs, la firme italienne a parfois fait des monoplaces clairement ratées. La dernière SF1000 doit ainsi plus ses deux podiums au talent et à la chance de Charles Leclerc qu’autre chose tant elle se traîne en piste. Elle est cependant loin d’être la Ferrari la plus loupée de l’histoire, comme nous allons vous le montrer ce mois-ci. La série…
-
Les pires Ferrari de l’histoire : Ferrari F92A, clap de fin pour Capelli
Seule écurie présente en Formule 1 depuis 1950, la Scuderia Ferrari possède un palmarès inégalé dans la discipline. 16 titres constructeurs, 238 victoires, 9 pilotes champions du monde sur les monoplaces rouges, et des voitures iconiques comme la F2004 ou la 500 F2. Mais au milieu de tous ces titres et honneurs, la firme italienne a parfois fait des monoplaces clairement ratées. La dernière SF1000 doit ainsi plus ses deux podiums au talent et à la chance de Charles Leclerc qu’autre chose tant elle se traîne en piste. Elle est cependant loin d’être la Ferrari la plus loupée de l’histoire, comme nous allons vous le montrer ce mois-ci. Retour aujourd’hui…
-
Les pires Ferrari de l’histoire : la 312 B3, l’échec de la « Spazzaneve » avant l’ère T
Seule écurie présente en Formule 1 depuis 1950, la Scuderia Ferrari possède un palmarès inégalé dans la discipline. 16 titres constructeurs, 238 victoires, 9 pilotes champions du monde sur les monoplaces rouges, et des voitures iconiques comme la F2004 ou la 500 F2. Mais au milieu de tous ces titres et honneurs, la firme italienne a parfois fait des monoplaces clairement ratées. La dernière SF1000 doit ainsi ses deux podiums majoritairement au talent et à la chance de Charles Leclerc tant elle se traîne en piste. Elle est cependant loin d’être la Ferrari la plus loupée de l’histoire, comme nous allons vous le montrer ce mois-ci. Nous allons commencer par…
-
Grand Prix des 70 ans : Max Verstappen, un chef d’œuvre stratégique
Mercedes peut désormais dire adieu à ses rêves de Grand Chelem. Déjà que la crevaison d’Hamilton dans le dernier tour en Grande-Bretagne avait été un sérieux signal d’alarme, les Flèches d’Argent se sont inclinées aujourd’hui. Incapables de tenir leurs gommes, elles sont tombées sur un Max Verstappen en état de grâce. Au-delà de la performance en piste, le Batave a pu profiter d’un pari de Red Bull qui s’est révélé gagnant.
-
Les pires Ferrari de l’histoire: la 312 T5, si même Villeneuve n’en tire rien…
Seule écurie présente en Formule 1 depuis 1950, la Scuderia Ferrari possède un palmarès inégalé dans la discipline. 16 titres constructeurs, 238 victoires, 9 pilotes champions du monde sur les monoplaces rouges, et des voitures iconiques comme la F2004 ou la 500 F2. Mais au milieu de tous ces titres et honneurs, la firme italienne a parfois fait des monoplaces clairement ratées. La dernière SF1000 doit ainsi plus ses deux podiums au talent et à la chance de Charles Leclerc qu’autre chose tant elle se traîne en piste. Elle est cependant loin d’être la Ferrari la plus loupée de l’histoire, comme nous allons vous le montrer ce mois-ci. Focus cette…
-
Grand Prix de Grande-Bretagne : Racing Point, comme un air de déroute…
La Formule 1 a fait escale à Silverstone ce week-end pour la quatrième manche du championnat 2020. Si la course fut relativement calme dans son ensemble, elle aura vu Mercedes fortement vaciller, la faute à des pneus Pirelli trop fragiles. Hamilton a cependant réussi à garder sa victoire alors que Bottas a fini lui hors des points. Si derrière nombre d’écuries comme Renault ont pu aller chercher de gros points, ce n’est pas vraiment le cas de Racing Point…