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Le retour des Grands Prix légendaires : Imola 2005, un feu de paille pour Ferrari
Avec un calendrier complètement remanié à la suite de la crise du COVID-19, plusieurs circuits et Grand Prix font leur retour en cette année 2020. Le Nürburgring, Imola et Istanbul sont de la partie, ainsi que le tracé de Portimao qui verra la Formule 1 courir pour la première fois au Portugal depuis 1996. Nous allons ainsi revenir sur certaines des plus belles courses qui se sont déroulées sur ces pistes et à Estoril, qui a accueilli la discipline entre 1984 et 1996. Pour cet avant-dernier épisode, retour sur la seule belle course de la Ferrari F2005 : le Grand-Prix de Saint-Marin.
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Le retour des Grands Prix légendaires : Imola 1989, deux ruptures aux conséquences diverses
Avec un calendrier complètement remanié à la suite de la crise du COVID-19, plusieurs circuits et Grand Prix font leur retour en cette année 2020. Le Nürburgring, Imola et Istanbul sont de la partie, ainsi que le tracé de Portimao qui verra la Formule 1 courir pour la première fois au Portugal depuis 1996. Nous allons ainsi revenir sur certaines des plus belles courses qui se sont déroulées sur ces pistes et à Estoril, qui a accueilli la discipline entre 1984 et 1996. Retour cette fois sur le Grand Prix de Saint-Marin 1989, entre accident de Berger et tensions chez McLaren.
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Le retour des Grands Prix légendaires : Portugal 1985, la première de « Magic »
Avec un calendrier complètement remanié à la suite de la crise du COVID-19, plusieurs circuits et Grand Prix font leur retour en cette année 2020. Le Nürburgring, Imola et Istanbul sont de la partie, ainsi que le tracé de Portimao qui verra la Formule 1 courir pour la première fois au Portugal depuis 1996. Nous allons ainsi revenir sur certaines des plus belles courses qui se sont déroulées sur ces pistes et à Estoril, qui a accueilli la discipline entre 1984 et 1996. Focus cette semaine sur le Grand Prix du Portugal 1985, qui a vu la première victoire d’un certain Ayrton Senna.
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Les pires Ferrari de l’histoire : Ferrari F2005, la mal-aimée
Seule écurie présente en Formule 1 depuis 1950, la Scuderia Ferrari possède un palmarès inégalé dans la discipline. 16 titres constructeurs, 238 victoires, 9 pilotes champions du monde sur les monoplaces rouges, et des voitures iconiques comme la F2004 ou la 500 F2. Mais au milieu de tous ces titres et honneurs, la firme italienne a parfois fait des monoplaces clairement ratées. La dernière SF1000 doit ainsi plus ses deux podiums au talent et à la chance de Charles Leclerc qu’autre chose tant elle se traîne en piste. Elle est cependant loin d’être la Ferrari la plus loupée de l’histoire, comme nous allons vous le montrer ce mois-ci. La série…
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Les sponsors originaux ou douteux : ABBA, le coup de communication aussi original qu’inefficace
L’année 1968 fut un grand tournant économique pour la Formule 1 avec l’avènement du sponsoring sur les voitures. Au fil des ans, de nombreuses marques de tous univers ont ainsi dépensé jusqu’à des millions d’euros pour apparaître sur l’une des monoplaces présentes sur la grille. Si les cigarettiers furent jusque dans les années 2000 les principaux sponsors dans la discipline, il y eut d’autres sources de financement plus originales, ou plus douteuses. Nous allons ainsi en voir quelques-unes, avec cette semaine le groupe de musique ABBA.
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Les sponsors originaux ou douteux : Durex, une attaque à la morale anglaise…
L’année 1968 fut un grand tournant économique pour la Formule 1 avec l’avènement du sponsoring sur les voitures. Au fil des ans, de nombreuses marques de tous univers ont ainsi dépensé jusqu’à des millions d’euros pour apparaître sur l’une des monoplaces présentes sur la grille. Si les cigarettiers furent jusque dans les années 2000 les principaux sponsors dans la discipline, il y eut d’autres sources de financement plus originales, ou plus douteuses. Nous allons ainsi en voir quelques-unes, avec cette semaine la marque de préservatifs Durex.
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Les sponsors originaux ou douteux : Penthouse, le charme s’invite en Formule 1
L’année 1968 fut un grand tournant économique pour la Formule 1 avec l’avènement du sponsoring sur les voitures. Au fil des ans, de nombreuses marques de tous univers ont ainsi dépensé jusqu’à des millions d’euros pour apparaître sur l’une des monoplaces présentes sur la grille. Si les cigarettiers furent jusque dans les années 2000 les principaux sponsors dans la discipline, il y eut d’autres sources de financement plus originales, ou plus douteuses. Nous allons ainsi en voir quelques-unes, en commençant par le magazine de charme Penthouse.