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Les destins brisés : Patrick Depailler, un destin brisé par deux fois
Le 31 août dernier, le sport automobile perdait le jeune pilote français Anthoine Hubert. Percuté dans le raidillon de Spa à plus de 270 km/h par Juan Manuel Correa, il a succombé à ses blessures quelques heures plus tard. Il n’est hélas pas le premier pilote français à avoir été fauché en pleine ascension vers la consécration suprême. Après Cevert, focus sur Patrick Depailler, l’Auvergnat de la F1.
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Les destins brisés : François Cevert, l’élève jamais devenu maître
Le 31 août dernier, le sport automobile perdait le jeune pilote français Anthoine Hubert. Percuté dans le Raidillon de Spa à plus de 270 km/h par Juan Manuel Correa, il a succombé à ses blessures quelques heures plus tard. Il n’est hélas pas le premier pilote français à avoir été fauché en pleine ascension vers la consécration suprême. Retour cette semaine sur François Cevert, prédestiné à succéder à Jackie Stewart chez Tyrrell.
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Grand Prix des Etats-Unis : une histoire plus que complexe
Avec 74 points d’avance sur Valtteri Bottas, Lewis Hamilton n’a pu être couronné au Mexique pour la troisième fois consécutive. Comme en 2015, il sera titré à la fin de la manche américaine du calendrier, la 19ème de 2019. Retour sur un Grand Prix qui a une histoire plus que mouvementée, entre autres concurrencé par l’IndyCar et la Nascar si réputées au pays de l’Oncle Sam.
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Dans les yeux de Pierre : Brésil 2008, is that Glock ?!
Être journaliste F1 implique presque toujours d’être passionné et de suivre le sport depuis un certain nombre d’années. Pour ma part, je regarde la discipline depuis 2004, aussi loin que je me rappelle, alors que je n’avais que 5 ans. Cette époque, il me reste des flashs, des moments précis gravés en ma mémoire. Bien que ces courses n’aient pas toujours eu une signification particulière ou un retentissement immense, lors de cette série spéciale, nous allons les revivre ensemble.
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Dans les yeux de Pierre : Monza 2008, « Baby Schumi » au paradis
Être journaliste F1 implique presque toujours d’être passionné et de suivre le sport depuis un certain nombre d’années. Pour ma part, je regarde la discipline depuis 2004, aussi loin que je me rappelle, alors que je n’avais que 5 ans. Cette époque, il me reste des flashs, des moments précis gravés en ma mémoire. Bien que ces courses n’aient pas toujours eu une signification particulière ou un retentissement immense, lors de cette série spéciale, nous allons les revivre ensemble.
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Dans les yeux de Pierre : GP d’Australie 2008, maudit moteur Ferrari…
tre journaliste F1 implique presque toujours d’être passionné et de suivre le sport depuis un certain nombre d’années. Pour ma part, je regarde la discipline depuis 2004, aussi loin que je me rappelle, alors que je n’avais que 5 ans. ce cette époque, il me reste des flashs, des moments précis gravés en ma mémoire. Bien que ces courses n’aient pas toujours eu une signification particulière ou un retentissement immense, lors de cette série spéciale, nous allons les revivre ensemble.
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Dans les yeux de Pierre : GP d’Europe 2007, Winckelhock sorti de nulle part
Être journaliste F1 implique presque toujours d’être passionné et de suivre le sport depuis un certain nombre d’années. Pour ma part, je regarde la discipline depuis 2004, aussi loin que je me rappelle, alors que je n’avais que 5 ans. ce cette époque, il me reste des flashs, des moments précis gravés en ma mémoire. Bien que ces courses n’aient pas toujours eu une signification particulière ou un retentissement immense, lors de cette série spéciale, nous allons les revivre ensemble.