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1968 : le tournant de l’économie de la Formule 1
[SERIE TBT] Le financement de la Formule 1 n’as pas toujours été tel qu’on le connait aujourd’hui. L’autorisation du sponsoring extra-sportif en 1968 a été un réel tournant dans l’ère de la discipline. Retour sur cette année charnière, sur les raisons mais aussi les évolutions qui ont suivi cette décision. Du pot d’échappement à la bouffée de nicotine Une question simple se pose : par quel moyen les pilotes et écuries finançaient les courses avant cette date révolutionnaire ? Avant 1968, la F1 s’octroyait plusieurs sources de revenus : la vente des voitures de série, comme Ferrari ou Lotus devenus alors constructeurs, ou encore la vente à des privés dont…
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Dans les échappements de Tech1 Racing
Jetons un coup d’œil sous le capot d’une écurie française, Tech 1 Racing. C’est par ses baquets que sont passés certains grands noms du sport automobile. Actuellement quatre pilotes roulent sous sa bannière dans le championnat de Formule Renaut, dont deux français. Le step by step tourné vers le futur Tech 1 c’est une histoire qui voit le jour en 2000, sur l’idée de Simon Abadie. Directement, l’écurie rejoint la Formule Renault 2.0 et 5 ans plus tard, l’Eurocup Megane Trophy. En 2006, Tech 1 allume ses moteurs sur les tracés des World Series by Renault avec notamment un certain Jérôme d’Ambrosio. Rapidement, l’équipe donne le ton et se bat…
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Les supporters russes de la Formule 1 : une nouvelle génération en développement
Les supporters européens de Formule 1 sont réputés pour être fervents. Dernier phénomène en date : les marées orange qui envahissent les tribunes au nom de Max Verstappen. Comment cela se passe-t-il plus à l’est ? Sergey Sirotkin, pilote russe réserviste chez Renault, raconte. Ces dernières années, le sport moteur en Russie a connu un réel coup boost avec l’arrivée de pilotes dans les grandes disciplines tels que Vitaly Petrov et Daniil Kvyat actuellement, ou encore grâce aux programmes formateurs de SMP Racing. Drapeau vert également pour les amateurs de moteurs bruyants qui suivent cette évolution. Sont-ils aussi enthousiastes que les européens ou cette nouvelle génération se veut pour l’instant…
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Les espoirs hollandais sur le Red Bull Ring
Après une étape difficile entre les rails de Baku qui a signé son quatrième abandon de la saison, comment Max Verstappen aborde-t-il le week-end à domicile de l’équipe autrichienne ? Tout pilote connait des moments difficiles, ce sont ceux qui le forment et le rendent meilleur sur piste. La saison 2016 a été fort fructueuse pour le jeune pilote néerlandophone. La fiabilité de sa Red Bull en a décidé autrement pour ce début de saison 2017. Le secret est d’avant tout aborder l’année course par course. Chaque week-end est un nouveau chapitre, il faut l’entamer l’esprit sain, mettre de côté le précédent. Pour le neuvième pit stop de l’année dans le…
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Corps et âmes entre quatre roues
« Il y a la voiture. Je me glisse dedans, comme si je mettais un manteau. Je m’habille quasiment de la voiture », disait un certain Ayrton Senna. En piste, le pilote et son bolide ne font plus qu’un. Andrea Cola, pilote Monolite Racing en championnat de F2 italienne, possède un lien unique avec sa voiture. Rencontre avec un couple singulier, à l’occasion de la troisième étape de la saison à Spa-Francorchamps. Qui se ressemble, s’assemble Un coup de foudre. Ce sont certainement les meilleurs mots pour qualifier le lien que noue Andrea à sa voiture. « Ça serait trop simple de dire que j’aime ma voiture. C’est un vrai feeling. La première…
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Andrea Cola – Spa Francorchamps
La 3e étape de la F2 Italian Formula Trophy a allumé ses moteurs sur la mythique circuit de Spa-Francorchamps » order_by= »sortorder » order_direction= »ASC » returns= »included » maximum_entity_count= »500″] ©Angélique Belokopytov ©Nicolas Donneaux
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Derrière le volant de la Formule Renault
Le dernier week-end du mois de mai, la Formule Renault démarrait ses moteurs entre les rails du circuit urbain de Monaco. Un tracé exigeant qui demande une réelle complicité entre le pilote et sa voiture. Bien connaitre son bolide, c’est une poussée de plus sur l’accélérateur vers le podium. Levons le voile sur ces voitures en apparence complexes avec R-ace GP, l’écurie qui fait courir le pilote belge, Max Defourny. Il faut savoir que le championnat de Formule Renault fournit des voitures deux litres identiques à toutes les équipes. « La partie externe de la voiture, c’est e sont des monocoques en carbone, détaille Pierre Vincent Maire, ingénieur automobile de Max Defourny,…